Par contre bonne B.O de Dave Grusin. Lire ses 3 817 critiques, Suivre son activité Il est inspiré du roman Les Six jours du Condor (1974) de James Grady. Cette bonne vieille hiérarchie, conçue comme gardienne de la paix mais qui, comme dirait l'autre, au lieu de nous la garder ferait mieux de nous la foutre. De cette époque, nous reste une floppée de bons films nerveux et pessimistes dont ces "Trois Jours du Condor" hautement appréciable. It's simple economics. ... Les Trois Jours du Condor. L’un est à la chasse aux nazis ce que l’autre est à la quête d’un réseau infiltré, adoptant chaque fois le point de vue d’un homme (presque)... Ce film dénonce les manœuvres politiques autour du pétrole, les coups fourrés, l’intox, les agents doubles et les mercenaires. Les trois jours du condor est un classique de l'espionnage, réunissant un casting de star des années 70 avec Robert Redford et Faye Dunaway. Thriller paranoïaque signé Sidney Pollack, "Les Trois Jours du Condor" nous fait suivre Joseph Turner qui travaille à les CIA en étudiant les livres qui sortent à travers le monde. 747 abonnés Lire ses 925 critiques, Suivre son activité Lire l'avis à propos de Les Trois Jours du Condor, Référence du film d’espionnage à l’atmosphère paranoïaque, Les Trois jours du Condor est surtout le reflet éloquent de son époque, de ces années 70 fiévreuses au cours desquelles le peuple américain a perdu foi en son rêve, son idéal, son histoire officielle. Vladimir Orlowski. Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité C'est assez invraisemblable au niveau du scénario, ... "Les trois jours du Condor" se révèle après chaque vision toujours aussi efficace. Oui, quand presque 40 ans... Préférences cookies | La paranoïa avait atteint son comble, et à raison qui plus est (ou du moins en grande partie). Le film. Un film précurseur, les suivants feront rien de plus. Un jour, alors qu'il revient à son boulot, il découvre tous ses collègues assassinés, il s'engage alors dans une course-poursuite pour découvrir qui se cache derrière tout ça, mais peu à peu Joseph commence à soupçonner la CIA. Avec Robert Redford, Faye Dunaway, Max von Sydow, Cliff Robertson, John Houseman. Parfois invraisemblable : Bob rentre chez Bell Téléphonie les mains dans les poches et passe ses petits appels comme si de rien n'était ! Robert Redford est impeccable, on mentionnera aussi la belle Faye Dunaway. Il y a des écrivains à qui un succès trop vite acquis coupe les ailes. Les trois jours du Condor de Sydney Pollack, adaptation du roman d’espionnage de James Grady, Les six jours du Condor, se veut plus un thriller, … Critique du film. Année : 1975. Robert Redford campe le rôle d'un déchiffreur de romans d'espionnage pour le compte de la CIA qui va se retrouver mêlé à une affaire étrange après … Best-seller à 25 ans avec « Les six jours du Condor », aussitôt porté à l’écran par Sydney Pollack (« Les trois jours du Condor », 1975), James Grady a continué à planer. Ce n'est pas parce qu'on est complotiste et paranoïque qu'on n'est jamais menacé et que les complots n'existent pas...! Grand très grand film ! Cela fait-il pour autant des 3 jours du condor un film prestigieux? J'aimerai bien avoir vos réactions dessus. Vous devez donner votre avis pour écrire une critique. Les trois jours du Condor Genre : Espionnage Durée : 110 minutes Réalisateur : Sydney Pollack Avec Robert Redford, Faye Dunaway, Cliff Robertson, Max von Sydow, John Houseman, Addison Powell, Walter McGinn, Tina Chen, Michaël Kane, Don McHenry, Michaël Miller, Jess Osuna, Dino Narizzano, Helen Stenberg, Patrick Gorman Nationalité : Etats-Unis Année : 1975 Le héros n'est pas un super héros au multiple talents cachés, c'est juste un homme normal parmi une guerre qui la dépasse. : Lire ses 716 critiques, Suivre son activité Tiré du roman « Les 6 jours du condor » de James Grady et remarquablement adapté par Lorenzo Semple Jr. et David Rayfiel pour le cinéaste. Cependant, sous l'étiquette du divertissement, il montre un aperçu de la CIA pas tellement flatteur, avec la paranoïa et la suspicion qui règnent dans la société, même si on se doutait un peu des agissements pas toujours propres de la célèbre agence.... 469 abonnés En 1975, en pleine ère post-Watergate, il est de bon ton, dans les dîners mondains ou entre deux cocktails, de s’essayer à une critique de la CIA. Données Personnelles | Lire ses 410 critiques, Suivre son activité Partant du moment ou notre héros se découvre être un tombeur tout aussi bien qu’un as de la gâchette, le film de Sydney Pollack passe du thriller politique à celui de bête film de divertissement, en désaccord total avec le scénario, lui plus pointu. 20 abonnés Publicité | Fleuron du thriller paranoïaque des années 1970, Les Trois jours du Condor (1975) s’offre une nouvelle sortie au cinéma chapeautée par StudioCanal et Les Acacias. On y suit Joseph Turner (joué par Robert Redford) qui devient la cible d'un complot géopolitique visant à faire de l'argent sur les gisements de pétrole au Moyen-Orient. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec Les Trois jours du Condor (1975) de Sydney Pollack (États-Unis, Thriller d’espionnage, 1h57) avec Robert Redford, Faye Dunaway et Cliff Robertson TAGS A cœur battant Autre truc rigolo, avec les événements récents (invasion de l'Irak et rôle d'Halliburton), les 3 jours du Condor font preuve d'une acuité prophétique assez inattendue. Le script est signé Lorenzo Semple Jr. qui, si il a travaillé sur À cause d'un assassinat reste surtout une figure du grand divertissement, s'étant fait remarquer sur la série … Robert Redford, simple employé de la CIA, poursuivi par une force invisible, parcourt New York en quête d’un retour à l’ordre qui semble relever d’une époque révolue. Le spectateur se sent aussi démuni que le personnage qui ne sait plus que faire ni à qui se confier face à un tel complot. En conclusion, Sydney Pollack et Robert Redford tourneront ensemble sept fois et « Les 3 jours du Condor » est l’un des plus beaux fleurons de cette collaboration. Le propos du film de Pollack n’est d’ailleurs pas le moins du monde éculé tant l’autonomie crasse de certain pontes des services de renseignements ont encore de nombreuses et néfastes conséquences au jour d’aujourd’hui. Lire l'avis à propos de Les Trois Jours du Condor, Joseph Turner est un écrivain raté qui lit des bouquins pour le compte de la CIA, à l'American Literary Historical Society en plein cœur de New York. Sydney Pollack est doué pour les intrigues mêlant pouvoir et corruption, et il ne se prive pas de le démontrer dans ce film. Dans cette adaptation du roman Les Six Jours du Condor de James Grady, paru l’année précédente, … Mais à ce moment-là on s'en fout un peu… Une bonne réalisation et une bonne direction d'acteurs mais sinon c'est très décevant. Ce qui force toute notre admiration... Aux Etats-Unis dans les années 70 ou plus précisemment juste après le scandale du Watergate, plusieurs metteurs en scènes comme Alan J. Pakula ou Sidney Lumet se sont lancés dans la réalisation de thrillers politiques dans lesquels ils n'hésitaient pas à critiquer vertement le gouvernement de l'époque et à dénoncer la corruption qui régnait. Qui sommes-nous | Apparemment la réponse est non. Lire ses 4 430 critiques, Suivre son activité Conspiration, manipulation, cynisme,....des maux dont les Américains estimaient leurs gouvernants responsables durant les '70s. Joseph Turner, chercheur dans une des nombreuses “sous-section” de la CIA, est plongé dans une série d’événements atroces quand il découvre les activités clandestines au sein de l’Agence. Son intrigue un peu alambiquée est diablement intelligente et reste crédible, quitte à nous faire froid dans le dos (inoubliable tueur incarné par Max Von Sydow qui explique tranquillement à Redford la manière dont il risque de se faire éliminer) et Sydney Pollack maintient toujours sa mise en scène sous haute tension, l'ensemble restant classique mais nous plongeant efficacement au cœur de l'intrigue et des ennuis du personnage incarné avec conviction par Robert Redford. On ne le dit jamais assez, et bien que cela semble d’une logique implacable, un film reste toujours lié au contexte dans lequel il a été réalisé, tant par rapport à sa réalisation que par rapport aux événements qui se sont déroulés dans le monde à cette époque. Je le baisse d'un point après revisionnage car il a malgré tout vieilli, notamment au niveau de la musique à mon goût, même si cela donne ce petit cachet seventies inimitable. Petite jubilation. Voila un trés grand film d'espionnage super bien réalisé, interpreté de façon brillante avec une musique d'une trés grande qualité. Sidney Pollack a toujours déclaré que c'était le genre de film "popcorn sans aucune signification, le genre de bêtise qu'on tourne sans se poser de questions". Pour autant, attention à ne pas s’endormir, quoique cela sauverait quelques personnes peut intéressées par les tribulations d’un analyste de la CIA aux prises avec des pontes qui préfèrent effacer les traces avant de voler de leurs propres ailes. La construction et le scénario sont très habiles, et, comme dans les Hommes du Président, il y a un vrai charme vintage dans ce film (la gueule des téléphones, des voitures, des ordinateurs c'est quelque chose). Les Trois Jours du Condor pourrait tomber dans le panneau, mais le réalisateur s’est toujours défendu d’un tel agenda. 165 abonnés Alors là je dis CHEF D'OEUVRE! Ou l'alliance parfaite du glamour de l'âge d'or et de la veine paranoïaque du … Lire la critique de Les Trois Jours du Condor, Le script est brillant, par contre cette amourette sortie de nulle part m'a foutu particulièrement mal à l'aise.