EN MARCHE VERS UNE VIE PRIVEE OEUVRE D'ART Que l’art puisse participer à l’édification d’un monde humain est une idée qu’Hannah Arendt a repensée dans Condition de l’homme moderne. Révisez en Terminale : Exercice fondamental Comprendre la reproductibilité de l'oeuvre d'art avec Kartable ️ Programmes officiels de l'Éducation nationale Le seul mode relationnel que ce dernier connaît est celui de l’échange et l’estime qu’il peut tirer d’autrui vient de la qualité de ses productions. pendant que lui la femme se meurt d’un cancer Justine 9 ans Le travail correspond au processus vital de besoin et satisfaction des besoins en fonction de la cyclicité naturelle. x�����^s���jw7q��o*�喸CZe&�$9et���^6)�m�壵-����BW^�nB���h��'K+W���0����;fJ%�Sa�h�_οE�7�U���\7_����ǺI@壭;����� \�RNJO��zQ��'#Z�bT
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�̔�AM������p"{���k��N�j���������#�O��&IA��BО��ߞ\�E>�ߝU�-m�����2#bM�6�ޣ��?8&��d�/��r��wW/��Ŧ͞jp33\Ú�"�ޝ�M9_�p�>E ����'�� l’homme est dehors avec un sac de voyage Ainsi, en violant la nature et produisant des objets à visage humain, l’homme peut ériger un monde proprement humain au sein duquel la distinction entre public et privé s’inaugure. Ce surplus temporel appartenant au processus vital doit être comblé, ce qui est pris en charge par l’industrie des loisirs. Il ne s’agit pas pour elle de nier l’importance de la contemplation mais de montrer qu’une vie humaine ne peut se constituer que dans l’activité. Il semble alors nécessaire de reprendre le mouvement dévoilé par Arendt de la vita activa pour voir en quoi l’époque de rédaction de l’essai peut être comprise comme crise, non seulement de la culture, mais plus largement de la condition humaine dans sa globalité. où l’amour doux Même si l’œuvre d’art nous semble pleinement publique, sa production, à l’instar de l’œuvre en générale, ne peut se faire que dans la solitude de l’atelier de l’artiste. Ainsi, l’industrie des loisirs permet le passage de la société de masse à la culture de masse avec les atteintes faites à l’œuvre d’art qu’Arendt dénonce. L’action et la parole, qui sont pour Arendt les deux moyens de l’émergence du « qui » des individus, ne peuvent être réalisés au sein du monde stable des œuvres. quand on contrôle pu rien aussi le mythe de Prométhée). permettez-moi Ce contre quoi elle lutte est l’utilisation des œuvres classiques en vue d’une détérioration de ces dernières, ce qui conduit à une atteinte sur la nature même des œuvres. Le philistin est condamnable parce qu’il entretient un rapport d’usage à l’art, il use de l’art en homo faber. En ce qui concerne la première question nous pouvons voir que la détérioration des œuvres d’art par l’industrie des loisirs vient fausser l’ensemble des frontières de la vita activa. C’est là tout le problème : son rapport à l’art est un rapport d’intérêt. sur sa toile Grâce à la multiplication des machines, elle n’est plus obligée de consacrer l’intégralité du temps au cycle naturel de production-consommation même si, le temps qui reste, fait partie du temps vital. qui reprend sa vie d'artiste du quotidien en main. Le philosophe de Königsberg part d’une analyse du goût pour retrouver la dominante politique présente au sein de chaque jugement esthétique. et du rapport entre %��������� Ainsi, si l’industrie des loisirs ébranlait le domaine politique en abîmant les œuvres classiques, la faculté de juger, faculté premièrement politique selon Kant et Arendt, peut permettre, en investissant le domaine esthétique, de retrouver le monde humain et la tradition culturelle sans lesquels la condition humaine de natalité ne peut se développer. Pour y parvenir, il nous semble nécessaire de reprendre le mouvement de la vita activa pour voir la place qu’y occupe l’œuvre et plus particulièrement l’œuvre d’art avant de montrer comment le philistinisme puis une certaine utilisation de la culture par la société de masse a pu remettre en cause les lignes de forces de la vita activa. Cette citation résume parfaitement ce qui va suivre. La solidarité des ces trois domaines est fonction de leur distinction, si bien que, si l’un des domaines est touché, l’ensemble s’en trouve ébranlé. y a pu de neige sur le lac Ce dernier est dans un rapport de conditionnement réciproque avec l’espace culturel : si les œuvres sont la condition de possibilité de l’espace de l’apparence (l’espace de l’action et la parole), celui-ci est la condition de préservation de l’espace culturel. dans un atelier où on doit à la fois La question est donc de savoir si l’industrie des loisirs ne permet pas plutôt une herméneutique culturelle sur le mode itératif plutôt qu’une destruction pure et simple de l’art et une mise en péril de la condition humaine ? un grand amour en attendant avec toiles et pinceaux L’es œuvres d’art ne sont usées que par les processus naturels et non par la main de l’homme, elles ont donc une existence beaucoup plus longue et peuvent traverser les siècles c’est-à-dire, conséquemment, qu’elles sont les objets qui constituent avec le plus d’efficacité le monde culturel humain : « Du point de vue de la durée pure, les œuvres d’art sont clairement supérieures à toutes les autres choses ; comme elles durent plus longtemps au monde que n’importe quoi d’autre, elles sont les plus mondaines des choses. (…) La société de masse, au contraire, ne veut pas la culture, mais les loisirs (entertainement) et les articles offerts par l’industrie des loisirs sont bel et bien consommés par la société comme tous les autres objets de consommation. travaillait pour Il fut cofondateur de la boîte à chanson Aux deux Pierrots. La société de masse se distingue par le temps qu’elle parvient à dégager au-delà du labeur. parce que déjà Si les rapports de l’art à la société ont toujours été conflictuels, le XVIIIe siècle inaugure un tournant dont la nouveauté n’a pas d’autre équivalent dans l’histoire. ». Or, la crise de la culture que voit Arendt dans les années 1960 consiste en une remise en cause de l’œuvre d’art et, par dérivation de l’ensemble de la vita activa. Même si la lecture d’Arendt nous semble extrêmement justifiée, une autre voie de sortie que celle kantienne nous semble pensable s’il est possible de prouver que l’industrie culturelle ne permet pas la consommation de l’art mais son itération et donc la conservation du monde humain pour une population plus large. sa vie privé et son art Si donc au niveau de la vie globale, il ne peut y avoir de rupture, la vie particulière est conditionnée par le mode inaugural de la naissance. C’est par les œuvres que les nouvelles générations peuvent s’ancrer dans une tradition et atténuer le caractère potentiellement effrayant de la radicale nouveauté qu’elles représentent. Thèse soutenue en Sorbonne par l'artiste Maurice Benayoun, en 2008 qui inclut la totalité du blog qui en fait la substance. et et donner une poignée de main à celui ou celle Nous permettons ici de mettre en doute cette idée de l’existence de sociétés uniquement laborieuses. Or, certaines œuvres, si ce n’est la majorité, demandent de prendre le temps avant de se donner au récepteur, temps que le processus vital ne peut accepter et que l’industrie des loisirs se charge bien de nier. Or, comme nous l’avons vu, la condition de natalité ne peut reposer que sur un socle solide et conditionnant : la liberté ne peut que se conquérir dans un détachement ou une reprise de la tradition qui s’exprime uniquement dans les œuvres passées. où l’amour doux Hubertus von Amelunxen et M. Louis Bec. Cette intervention possède pour revers le nécessaire fonctionnement par réification de l’œuvre : il n’y a pas d’intervention quant à la forme de l’objet du labeur car il est un produit de la nature, par contre l’intervention de l’homme dans l’œuvre est corrélée à la destruction de la nature. me rappelle l’essentiel Une oeuvre d'art est une création artistique produite par un artiste. aussi le mythe de Prométhée). qu’importe si j’en crève À la limite, que l’industrie des loisirs produise ses propres œuvres sur le modèle du travail n’est pas un problème en soi : le problème majeur et la crise de la culture surgissent lors de la réappropriation et de la modification des œuvres d’art classiques. Le passage du travail à l’action en passant par l’œuvre recouvre en réalité le passage de la nature au monde des apparences en passant par la culture. Une galerie d’Art contemporain en ligne : peintures, gravures, dessins, art digital, sculptures. Ce qui est beau dans la vie privée oeuvre d'art, S’il est vrai que l’apparence comme manifestation est la seule voie d’accès à l’Être, l’art nous y initie puisqu’il a vocation à déployer entre l’artiste et son public un espace commun d’apparence. Jan 10, 2014 - The second annual ArtFields returns April 25-May 4, 2014 with art events for the entire family, plus food, music & more!. Or, comme nous le verrons par la suite, la crise de la culture est une crise de cette possibilité même du renouvellement du fait de la mise en péril de l’héritage passée. L’animal laborans, (…), peut bien être le seigneur et maître de toutes les créatures vivantes (…) seul l’homo faber se conduit en seigneur et maître de la terre. Pour lui l’œuvre doit lui rapporter quelque chose, que ce soit une position sociale ou un enrichissement personnel avec cette idée que l’art et la culture conduisent au perfectionnement de soi. Sans monde culturel, la tradition devient impossible, et l’espace des apparences ne permet plus aux individus de déterminer leur « qui ». sur 16 ans d’aventures Jean da Silva, Pr. Cette utilisation de la culture à des fins personnelles ou sociales n’est en fait que le rabattement des œuvres au niveau des caractéristiques de l’homo faber. C’est pourquoi il est nécessaire au travail de s’excéder lui-même afin de dégager un mode de production qui n’est pas immédiatement détruit par la consommation : il s’agit de l’œuvre, « Cet élément de violation, de violence est présent en toute fabrication : l’, Ainsi, en violant la nature et produisant des objets à visage humain, l’homme peut ériger un monde proprement humain au sein duquel la distinction entre public et privé s’inaugure. Cette anthologie rassemble les plus grands textes sur l'oeuvre d'art, de Platon à Hannah Arendt, en passant par Aristote, Léonard de Vinci, Rousseau, Kant, Goethe, Hegel, Baudelaire, Nietzsche, Rodin, Proust, Bergson, Benjamin, Alain ou encore Merleau Ponty. C’est pourquoi il est nécessaire au travail de s’excéder lui-même afin de dégager un mode de production qui n’est pas immédiatement détruit par la consommation : il s’agit de l’œuvre et des productions culturelles permettant l’érection d’une culture. (Cf. Mais prenons le temps de la démonstration et analysons une à une les sphères de la vita activa en nous arrêtant plus spécialement sur l’œuvre. c’est trop fou La critique arendtienne à l’encontre de la société de masse ne concerne donc pas la démocratisation des œuvres mais leur détérioration au profit d’une consommation plus aisé. Ces trois conditions forment la condition de l’homme. www.enracontantpierrot.blogspot.com rêvait du cap de la madeleine COUPLET 2 Prendre position c’est à la fois être ancré en un point de l’espace-temps et pouvoir s’en extraire. C’est la raison pour laquelle il apparaît nécessaire de repenser les conditions d’un rapport authentique à l’œuvre d’art. Nous tenterons alors de chercher avec Arendt une voie de sortie de la problématique de la perversion de l’œuvre d’art. Seulement, l’œuvre possède un caractère beaucoup plus médiatisé et est fonction également de la pensée. j’ai dit mort à la mort Comme on le voit à travers cette citation, la durabilité de l’œuvre d’art est fonction de son inutilité. C’est l’un des textes les plus connus et les plus centraux de Walter Benjamin (1892-1940). Jury: Pr. Cette idée développée par Arendt à partir de sa détermination des domaines de la vita activa, était déjà présente dans la Critique de la Faculté de Juger de Kant, ce dernier apparaissant comme offrant une théorie d’un rapport authentique à l’art. quand on contrôle pu rien C’est là la grande distinction entre le travail et l’œuvre : « Cet élément de violation, de violence est présent en toute fabrication : l’homo faber, le créateur de l’artifice humain, a toujours été destructeur de la nature. @��̰ǔ���P_��X;y���9�潕�]@���t=2���G�|ާߤ�i���M��]�>�K�����/>���cz�9~�~L�����&�>�����Nݢ�o�m��ż�w7����y�n���u�V���[�����,����r��}Ӥ�<
�i��Jfj�ߺI�v��ަ�.�9�,�t�6�K���n��M]���������ŷ�_�쫿��sv������i��Y�}�������ϛz�nj3ſ2�u����V+pm��׳$�d��Wb� ��x7Y�w|�ޞ�fū�)ߡ�&��D�#�OJ[��Zj��������ASM�!�.�p�ǐ�)@��+�! moi l’vieux hippie quitte à dormir dehors Au niveau de la vie particulière se joue un sous niveau du processus de production-consommation qui lui connaît des bornes, à savoir la naissance et la mort. En reprenant les œuvres, elle leur donne une nouvelle visibilité et une nouvelle interprétation (même si c’est sur un mode plus pauvre) pour, paradoxalement, consolider le monde culturel et humain. Il se sert de l’art comme moyen en vue d’une ascension sociale et passe à côté du rapport essentiel à l’art. À l’inverse de Delvoye, Manzoni a choisi de ne pas la dévoiler. ». q’est-il permis d’espérer? DANS UN CAFE PHILO qui tenait dépanneur, corps et âme Arendt distingue deux formes de vie : la première qui est le mouvement perpétuel de régénération des espèces et la seconde qui est chaque vie particulière reposant sur la première. pendant qu’sa soeur sur google, Cette naissance, qui est le fait caractéristique principal de chaque individu, ne peut être assumée que si elle a un monde sur lequel elle peut reposer. j’me suis levé Mais ce renversement ne peut dépendre que de la volonté des individus à reformer un monde commun, chose extrêmement difficile après l’histoire qu’a connu l’humanité au XXe siècle. Le marché, domaine public et lieu d’échange des œuvres s’est développé jusqu’à l’absorption des œuvres d’art en son sein. Des experts, pour vivre votre passion en confiance. En effet, l’espace politique est le lieu de l’action, c’est-à-dire celui pour lequel la condition humaine de natalité est le plus prégnant. La distinction principale de l’œuvre et du travail ne vient pas de l’utilisation d’outils en vue de sa réalisation mais de la forme qui accompagne la production et le temps qui lui est impartie. La position que le spectateur, réel ou virtuel, occupe dans l'art présente plusieurs dimensions, entre l'incitation de l'artiste, l'appropriation de l'œuvre et le développement d'une culture soit individuelle soit collective, par exemple la constitution d'un patrimoine. La naissance inaugure un cycle de consommation nécessaire à la conservation du corps et que seule la mort pourra interrompre. La différence notable entre Merda d’Artista et Cloaca est la façon dont cette matière est mise en scène. L’oeuvre d’art: l’objet le plus durable du « monde » Publié le 5 janvier 2017 par amartin5. Les versions revues et corrigées des œuvres leur font plus de mal que leur disparition temporaire du domaine public. Hannah Arendt, dans son livre La condition de l’homme moderne opère une distinction fondamentale entre le travail de l’œuvre. par des poignées de mains insatiables Lorsqu’on juge d’une œuvre, on la juge aussi en fonction du regard de l’autre et non pas seulement de son sentiment personnel. Il faut bien comprendre ici qu’Arendt n’est pas du tout contre le phénomène de démocratisation de la culture. Il ne peut produire que dans la solitude car l’idée ou l’image ne peut être le résultat que d’un seul esprit, toute collaboration peut enrichir l’idée mais au final, le produit ne peut avoir qu’une signature. COUPLET 3 pour des profs des ados qui dansent l’amour http://www.enracontantpierrot.blogspot.com le vagabond celeste toute la semaine faut être prêt C’est un truisme, pour les lecteurs d’Arendt, de dire que l’œuvre d’art est intimement liée au monde, encore que ce lien ne soit pas sans ambiguïté puisque l’activité de l’artiste, en tant qu’œuvrer, se fait en marge du monde. sur youtube Ce surplus temporel appartenant au processus vital doit être comblé, ce qui est pris en charge par l’industrie des loisirs. Il étudie d'abord au Black Mountain College, puis à Paris à l'école de sculpture Zadkine.Dans l'atelier de Frankenthaler, il découvre la possibilité de faire la couleur dans la toile crue.. Jackson Pollock jette la couleur sur la toile crue dès 1952 ; il est suivi par Helen Frankenthaler, Morris Louis et Kenneth Noland . car la vie est si brève c’est qu’y a des matins Puisque cette crise consiste en un affaiblissement des frontières de la vita activa et en particulier en une dégradation du domaine politique du fait de la détérioration des œuvres d’art, il faut trouver un remède présent lui aussi au niveau des deux strates des œuvres et de la politique. Grâce à la multiplication des machines, elle n’est plus obligée de consacrer l’intégralité du temps au cycle naturel de production-consommation même si, le temps qui reste, fait partie du temps vital. MONSIEUR 2.7K Cette idée développée par Arendt à partir de sa détermination des domaines de la, Les œuvres d’art ne sont pas pensables hors d’une inscription dans le mouvement global d’actualisation de l’humanité qu’Arendt repère dans la thématisation qu’elle propose de la, Habermas : de la généalogie du sujet communicationnel à l’institution du réel par l’itération normative, Homeland ou la redéfinition du terrorisme, De la maison à l'Etat-nation : les citoyens et les exclus (Arendt, Foucault, Agamben), Merleau-Ponty : L'Insitution de l'apparaître, Hannah Arendt : L'oeuvre d'art dans la "Condition de l'Homme Moderne" et la "Crise de la Culture", Arendt et Castoriadis : L'excédence du sujet, Les espaces de la culture (Bourdieu, Hegel, Girard, Honneth,...), Hans Jonas ou le conflit des temporalités (une interprétation du Principe Responsabilité), Arendt et Castoriadis : L'excédence... >>. Les conséquences de la détérioration des œuvres d’art sur la condition humaine : La première partie de notre recherche consista en une détermination des différents domaines de la vita activa pour ensuite voir que, selon Arendt, le XVIIIe siècle a connu une rupture conduisant à une crise de la culture lors du développement de la société de masse. Les deux textes sont très proches chronologiquement et philosophiquement, si bien que celui de 1960 peut apparaître comme une application ou un prolongement de celui de 1958. Il ne faut donc pas sous-estimer la détérioration des œuvres classiques, car elle a pour conséquence une anémie politique ouvrant potentiellement sur des dérives totalitaires. de vous offrir oui moi je dors dehors faut être prêt Le philistin cultivé, animal étrange que l’on retrouve des lumières jusqu’à nos jour, n’a que trop d’intérêt pour l’art. avec toute sa magie Certes le marché d’art diffère des autres formes de marché de par la nature des produits à échanger, mais il n’y a pas de rupture radicale entre les deux : le principe en est l’échange possible en droit de toutes les productions artistiques. La naissance inaugure un cycle de consommation nécessaire à la conservation du corps et que seule la mort pourra interrompre.